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    Bienvenue.

    Ici s'exprime les intuitions et les sensations.. Des expériences et des ressenties.

    C'est un lieu ouvert...

     

  • De magies anciennes non pas occultées, aux errances envolées de certains exaltés. Pour une écoute fine sur l'angélus, pour le Tout, l'Amour et ma fille Luz. J'interviens au rang mien, je n'accepte rien. Demande au Sacré, à l'onde chuchotant à ce tabac et sa fumée brûlante, aux chevelus nuages au dessus de ma tête, à mon Jahwell et sa clochette, l'intense patience qui fera de moi celui qui, par l'exercice de pensée, du Mal cuit, de l'âme vie transmutera son Soi acide tout en évitant le lévitant hybride… Et chaque fois en référence à ses guides essaiera d'extirper ses liens et ses brides. Transmutera donc, en une infinité d'Elles. et ferais de ma vie une passerelle. J'essaierai l'indicible son du fond des âges et je donnerai tout ou presque en partage. Ces mondes cachés dans le silence de l'aube ou ces vallées foisonnant d'anciens orbes… J'irai par delà les mystères non sondés et me rechargerai à l'ondée. Les Vieux, mes anciens portent à l'examen les  constellations dans mes deux mains. Ils semblent sûrs de leur fait d'arme et me prodiguent leurs soins contre des Larmes. Mes fées câlines se tiennent à mes côtés, de grands Centaures de toutes beautés ne cessent de me parler, d'invoquer la Magie. La vie coule depuis l'aube et par ce qu'elle agit dans mes os et mes veines, cette onde cette magnifique perle d'eau profonde, réussit ce tour: n'être ne moi que par l'Esprit. Je tente alors de ne plus jamais être pris, mes croyances les plus ancrées tombent et dans mon corps, l'effet d'une bombe. J'assimile tout autant les paradoxes que les coups sur un ring de boxe. Pour une incantation aux feux indigos je réveillerai ces chiens fous, les dingos. L'étincelle ténue d'une énergie rare n'est point le poison, le curare. Au contraire elle tient en son sein la féerie d'un divin dessein. S'attise alors au sommet d'une montagne la fièvre de danseuses vêtues de pagnes. Hélios réchauffe en  ce sens les cœurs et s'invite au bal des trois sœurs. D'un coup de bâton frappe le sol, apparait alors une foule de Trolls…L'âme-est-moire et ne se fait point nette. quand les mondes invisibles sont de la fête, invoquant la parole d'un Viel arbre, tissant avec lui un rire, une palabre. Les bruits du ruisseau se font échos à la musique du grand Paco. Dans les moments les plus instantanés  les notes et harmonies j'ai tanné, comme le cuir d'antan travaillé, j'ai entendu mon instrument railler; et mes lèvres de  sang sont devenues. Je me suis livré à cet art, nu. A ce songe j'ai fait allégeance!! Sans aucune peur aucune vengeance au royaume des Elfes  immortels j'ai porté mes offrandes à l'autel. Mes paroles, mes gestes et pensées étaient unis, et j'espérai ne plus être punis. Un grand sorcier ou plutôt un Mage, une personne séculaire sans âge m'a invité au secret Arcane… Etant trop jeune pour porter la cane, symbole d 'oubliés et rares rituels j'assimilai ces Enseignements comme le miel. Désormais acquis à la puissance végétale je pouvais pousser ce cri primal. "Les rayons de lumières entre les ramures ne bâtissent point de murs". Ils sont le lien à l'eau, à l'air, et quand mes pieds sont nus sir la terre, Alors entre père et mère, aux astres, au cosmos, m'apparaissent djinn, titans et molosses. Là, est le Jeu. Il ne faut point craindre. Mais comme un tableau, son Existence peindre. Au delà des illusions se faire créatif, au temps de la déraison un temps instinctif. Partager ses dons par l'écrit, la parole, apposer ses mains et tenir son rôle…


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  • Créateur, courageux et athlétique, mon grand père est un homme bon, intègre et beau, il est dans l'éthique. De souvenirs, il a toujours eu le ton on ou en tous cas ne l'a jamais levé. Plus qu'artisan il est artiste. Et c'est en ayant prélevé de sa sueur sans être triste les fruits de sa sagesse qu'il fête aujourd'hui ses quatre vingts ans...Et c'est avec fierté et sans paresse que je lui dis: "je suis aimant."


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  • A se casser le dos, à soulever le monde, à hériter de toutes les peines, à hésiter en trombe pour dire un je t'aime. On se réveille souvent en gueule de con et vie de merde. Et quand brille la lumière d'un amour, j'essaie de ne pas l'éteindre mais l'étreindre encore et encore avec mes bras et mes mains qui ont si souvent servis à trimbaler de la pierre. Et c'est hier que j'étais fier aujourd'hui que je joui  et demain c'est par le chemin de la vie que je deviendrai qui je suis et que j’éviterai celui que je fuis.


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  • Mon aptitude c'est ma solitude, d'elle découle mes sens.

    J'encense ces moments où, d'un sentiment d'isolé, je me construisais des mondes et des univers dans ma tête; toujours en quête d'aventures et de défis, j'étais le seul, car seul j'étais à entreprendre le voyage... Seulement fier de ce que je pensais, affolé par le monde j’avais en horreur la foule et la masse, j'adorais dialoguer avec ceux qui ne parlent pas: le Vent, les Arbres, les Chevaux.

    Cela m'a nourri l'Esprit, mon cerveau s'est empli d'idées plus ou moins saugrenues, pour donner libre court à l'imagination d'un enfant seul!!! Seul, ou plutôt peu entouré comme on dit, mais avec une multitude de pensées-amies, avec l'envie de créer jeux, cabanes, sentiers d'aventuriers et  bien sûr rêvasser...

    Ah! pouvoir prendre le temps d'admirer, de contempler et d'observer. C'est une époque l'enfance, où, le temps n'a pas la même portée:"trente secondes à regarder une fourmilière, et voilà que vous devenez fourmi pour l'éternité."

    En ça être seul, prendre conscience de sa solitude, c'est à dire avoir touché du doigt que l'on est juste défini par son enveloppe charnelle et son esprit, amène À se nourrir des moments de solitude. Car on naît seul et on meurt seul, nous ne sommes à deux que durant l'amour où la fusion de deux corps et de deux esprits se fait pendant quelques instants!!

    Certains la redoutent: " J'ai 2000 amis sur facebook." Et d'autres la choisissent:"Et si j'entrai dans les ordres."

    Bref! La solitude est multiple, elle ne se cantonne pas à mon être, mais s'observe en tous lieux. Si il y en a qui qui grouillent d'êtres seuls: les mégalopoles où tout le monde se croise mais ne se dit pas bonjour. Les lieux sans impact humain se dévoilent être le témoin d'un spectacle magique.


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  • Après une pause, voilà la reprise. Un peu clairsemées, les idées sont néanmoins nombreuses. Je me figure à l'instar des Anciens, un lieu mystique entre mes actes, mes pensées et l'ordre du monde. Ce chant rare à entendre se fait plus présent à chaque instant.

    D'autres diraient: Sagesse ou Folie, mais on n'aime pas ces mots, on se les accommode avec dédain et on roule en équilibre au fil de l'existence!

    Bref la Vie continue quoi qu'il arrive. Et lorsque on dérive vers le mauvais, le Mal. On n'évitera jamais la Mort, car elle n'existe pas vraiment...La mort, passage vers la suite, pays de Magie et de Sorcellerie.

    Shamans et hommes-médecine sont tirés des entrailles de la Terre-Mère, ils réapparaissent en ce siècle, ne se cachant plus, sont parmi les villes et les campagnes.

    L'humble serviteur des Arcanes de la création, pose sa voix vers l'avenir, se tien tau présent comme le félin à l'affut. Perce le passé tel une aiguille au moment où il parle. S'il trace sa voie et se voit lui-même, infiniment petit, c'est parce qu'il sait qu'il n'est qu'un relais, qu'un messager des forces du silence, de l'intention et de son intuition...

    Et de l'air des forêts et des montagnes, les sorciers, saigneurs guerriers et shamans se réveillent. On en aperçoit de nos jours encore de ces individus marqués par les esprits totems.

    Il n'y a pas de tabou à parler des actes ancestraux, de dialogue avec la Nature. Les Esprits sont souvent tacites, converser avec eux, demander un entretien avec ce monde, nécessite et demande beaucoup d’Énergie spirituelle et de patience.

    Les Anciens, sous formes diverses, parlent, il est difficile de les entendre. Mais le jeu en vaut la chandelle. Car avec déférence l'intention est très présente!

    Source d'apprentissage (apprenti-sage) constante, elle donne souvent la voie à suivre, claire dans l'obscure vie actuelle. On se figure souvent des paroles et des sons diverses qui parcourent les lieux et viennent à nos oreilles.

    Se forcer (sans violence) à les entendre, à prendre le temps de se concentrer. C'est un exercice, ma fois, intéressant, très ludique quand il ne fait plus peur. Et il ne fait plus peur que, lorsque, on a pris conscience que l'intuition (cerveau reptilien), ancestrale et mystique peut nous donner accès à un état de conscience élevé, accru et efficient.

    Cet état n'a aucun but précis, il permet grâce aux signes de la Vie (visuels, sonores et autres) de comprendre notre essence magique. Celle-là même qui permet les cycles de vie depuis un temps où les choses n'ont pas d'âge.

    Car nous n'avons pas d'âge, en effet ce qui me fait est, depuis la création de l'univers encore et encore reconduit, sous diverses formes certes, mais toujours sont les mêmes choses; des éléments qui n'ont pas d'âge et qui se perpétuent.

    Et si on regarde vraiment le monde, il se découvre finalement comme une réalité cachée, se fixe dans l’instant de l'observation, lié à l'instinct qui nous anime, lié aux destins vers les quels on s'abîme...

    Le chant du monde c’est le réel, c'est l'existence même de la force créatrice et les âmes fortes l'écoutent, parviennent à décrypter son sens dans un but avoué: Être en phase avec l'Univers, Connecter aux Anciens Esprits. Se dérober physiquement à l'idiotie, prendre l'intervalle du moment présent..


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  • C'est du tac o' tac que mon accent tactique amène la critique de l'état inique, je glisse la technique d'une femme chamanique invite les cyniques et les djinn pathétiques. A cette fête triste, cette fête du fric..

    J'en appelle au débile, j'en appelle au subtil, ma vie devient fragile et s’amoncellent des piles de tonnes de cadavres. Alors je deviens Brave, mais tombe, reste grave.

    Ma vie n'est plus suave, j'entends profond les âges, ils m'envoient ce message: "Tu n'est pas en cage, mais bien trop en rage, alors cesse de craindre, mets toi à peindre..et..arrête de te plaindre."

    Joue du violon d’Ingres. Je me croyais étrange, j'avais en moi un Ange, caché dans une grange, un enfant à frange. Un truc intérieur, un lutin rieur qui n'à jamais peur et parle avec le cœur.

    Je pose alors un Son, chante avec la mousson et c'est le "bocson". Le prix de la rançon. Je tombe nez-à-nez après tant d'années sur mes acquis mes innés qui ne sont pas damnés.


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  • Je me permets, j'insiste, tu es cette grande artiste au regard parfois triste. Dans nos jeux d'équilibristes il est un fait qui consiste à avoir ces regards récidivistes et faire l'amour à l'improviste car nous ne sommes pas réalistes, mais bien idéalistes, oui...idéalistes. De nos corps sommes les chimistes et du tien je ne serai jamais gréviste. Toi le belle féministe, tu es ma violoniste, de ta beauté je suis puriste, avec toi rien ne m'attriste. Ensemble, notre couple persiste.


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  • M

    Tu es belle comme une gitane, comme une bohémienne, tu es indienne, princesse du clan cheyenne, et de ma paroisse tu es seule gardienne. De mon cœur l'unique, la pure citoyenne. Nous avons presque deux fois la vingtaine, je serai à jamais ton dévoué capitaine ou bien le mauvais croquemitaine. Tu es l'onde pure, la source, la fontaine. Toi ma belle tu es bien ma reine, je te veux de mes désirs souveraine: femme-panthère ou bien sirène, battons nous, aimons nous dans l'arène! Nos âmes entre elles font le larsen...Je ne suis pas un mécène et je te sais parfois malsaine, un rien délurée, obscène. Alors voici ce petit poème en guise de candide requiem. Nous sommes tous deux bohèmes, je te suivrai jusqu'aux chrysanthèmes....Je t'aime


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  • ;)

    Tu es ma plus belle conquête
    Toi la femme pure esquise
    Voilà donc ma requête
    Soyez ma marquise
    Prenez place sur le damier
    Et ce, sans vous souciez
    De notre lit et sommier
    Je serai alors l'homme princier
    De vos nuits sans gâchis
    Je donnerai dans la chevalerie
    Ou bien dans l'anarchie
    Surement dans la sauvagerie
    Ne me faites aucun reproche
    Je peux être chafouin
    De votre cœur je suis si proche
    Mais je peux être un sagouin
    Alors votre corps sublime
    Dans ces draps de satin
    Devient appel au crime
    Et j'en perds mon latin
    J'avance jusqu'à votre presqu'île
    Ce n'est point parole d'évangile
    Ma bouche se pose sur votre pastille
    Vous êtes mon mannequin
    De votre sang africain
    Je demande un câlin
    Il est temps c'est à dessein
    Pour vous j'ai le bégun
    Nous sommes les assassins
    Nous avons ce côté sanguin

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  • C'est un temps choisi, un temps pour redevenir soi-même, c'est aussi, des moments où on se retrouve et où on sème...Des idées floues je passe à la netteté, à une certaine lueur. Auparavant, j'étais plus souvent avec de sales odeurs. Ici et comme ceci, je dis à mon cœur de converser, et essaie, tant que faire ce peut, de l'écouter percer. A en faire si peu, mes non-actes sont devenus chaines et boulets... J'ai perdu pied,  j'ai failli sombrer et bien souvent couler. Aussi est il temps de revivre, de devenir plus fort et serein, alors!Je pense fort à ma Belle et sa chute de rein.....


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  • Dans les rues des villes, ils marchent vite, le regard livide et hagard, ils regardent par terre. Aux diners de famille ne parlent que de la pluie et du beau temps....Ce sont les prompteurs. Jamais ils n'extirpent de leur âme des sentiments profonds. Ils vous demandent si ça va, mais se fichent de la réponse. Leur question favorite est: " que fais tu dans la vie? " Rarement ils vous questionnent sur vos rêves, vos aspirations... Encore moins sur vos vices ou vos folies. Pourtant les folies on ne les regrette pas.....Ces gens là, sont les biens pensants, des gens aux normes et valeurs acceptées, ils sont souvent soit disant de bon conseil et très agaçants. Les prompteurs sont donneurs de leçons, exaspérant quand nous voudrions un peu de douceur. Ils ont soupe au lait et nous encaissons sans rien dire.


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  • Un grain d'airain doucement laissé par le vent, se pose sur le tuf sec et tout de blanc, une fontaine naturelle glisse son eau, à travers les roches elle fait des anneaux. Les fougères couvrent de nul part la cité aquatique que je fixe du regard. Le soleil d'hiver claque de lumière l'onde et les oiseaux chantent dans la vallée profonde. Valse bouleversés aux aléas du Temps, vasques renversées en allant au Temple, instincts caressés d'un doux regard, insectes pressés hibou hagard. Les vifs sons sur mes tifs soyeux, sous l'if rond, furtif et joyeux, le papillon visite son monde, son pavillon s'invite dans l'onde... Aux notes bleues-violettes dans lesquelles j'ai plongé, à cette monture que j'ai longé, a la symphonie anarchiste qui coule dans mes veines, à ces soirs grisés et sans aucune haine. Regardés par de tendres êtres métaphysique, laisser couler le flux en nous, l'harmonique! Car dans ce jeu, Tout, vraiment tout est musique et il est de bon ton de garder quelques silences ethniques. Sans se prendre la tête et en attrapant la plume, s'en remettre à la tresse aux encens que l'on hume, décimés de temps à autre l'Âme-ancienne clame et s'en réfère à l'Esprit gardien qui brame. La colère des roches et l'agacement du Vent, dans notre centre une armée se soulevant. C'est pour l'unité du sentiment, la rédemption, celle envers soi bien sûr, faites attention!! Car les drôleries sont fantasques et souples et les dialogues se tiennent à la loupe...... 

     


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  • Un rien comme ci comme ça, induit
    Un ton une note entendu la nuit
    Voilà que je reprends les écris
    Car dans mon cœur tant de cris
    Je ne suis pourtant pas aigris
    Malgré la couleur d’âme, gris!
    Et de toutes ces boules de suif
    De tous ces rendez vous que j'ai fuis
    J'irai en faire la preuve par Huit
    Et je sens que mon mal cuit...

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  • Formes d'une vie aux quelles je m'associe, en un rien idiot, sans aucun souci ... Voila que je me retrouve plus là, plus ici. Cette chose qu'est l'existence, cette force, je la trouve à la fois belle et atroce. Sans elle, l’absence de cette gosse me terrasse, me fracasse alors en hausse oser se regarder en face, tirer de se reflet la vitalité de reconquérir l'amour de ce mouflet...Espérer avoir encore des rires de fées.

    Peut-être, mon ami, te trouveras tu un jour ainsi parmi tes pairs, oh combien en sureté avec une famille un jeu d'échec et petit jardin. Peut-être iras tu cueillir des boutons d'or, aussi dans le pré voisin et les offrir a une dame. Oui, parce que avec le temps, tu ne séduiras plus les jeunes filles mais des femmes.....Oh mon ami, je te savais si sensible autrefois, je te vois tellement triste.

    Fermement accroché a ce changement de parcours c'est par la rectification d'un point de vue que je me refais une morale tour à tour. Je ne suis pas un danseur de revues, ni l'auteur que j'aimerai devenir, fantasmes!! Pour l'instant c'est plus le menteur, Marasmes!!

    Alors je me suis noyé dans un verre d'eau, je n'étais pourtant pas chargé comme un bardot, je trouvais des raisons louables à des comportements inavouables. Les mains tendues je refusais et à ce jeu me suis usé. Tant d'amis perdus et bafoués, dans ce que je n'ai point loué..Il y avait surement d'autres chemins et dans l'essence de mes mains j'aurai pu être un être distinct. Et à mes oreilles aujourd'hui tint une mélodie pure et franche, elle traverse mon corps et enclenche une conquête assoiffée de pardon, peut être un jour maitriserai-je mes dons?


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  • Tu m'as séduit il y a fort longtemps, aujourd'hui encore tu es avec moi de temps en temps. Quelle était belle notre première fois, bien roulé entre mes doigts, une bouffée magique autour d'un feu clanique. Les  sons des percussions, l'air et le vent, l'embrun, la nuit étoilée, je m'en souviens pourtant mon esprit est voilé. Voilà vingt ans que l'on se côtoie... D'abord comme un encens, longtemps tu es restée en ce sens. Puis plus tard: métamorphoses, quelques grammes, une petite dose. Toujours tu continuais à me promettre monts et merveilles, et telle dans l'essaim l'abeille, j'ai suivi tes conseils...Pour peu, je me sentais heureux. Force est de constater, que je me suis trompé. Encore quelques étapes et nous serons étrangers..Je l’espère, car en tant que père maintenant, je ne veux plus être ton amant. Trop d'illusions, trop d'allusions... Voilà, je romps dans la douleur d'une histoire aux mille couleurs. Je casse d'avec vous, oh paradis artificiels, en tous cas je le veux, je m'en remets au ciel.  


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  • Aie

    Par delà certains cycles, quelques miracles font foi. Alors des fois quand mon âme racle le sol, ras le bol de tout..Et pourtant, des temps glorieux nous attendent, des joies rieuses prétendent être. Je me dis souvent, quel fardeau la vie, puis je ris encore une fois de plus, je te vois douce et sévère, me regarder. Et puis toi aussi tu souris, toi aussi tu râles et toi aussi tu n'oses pleurer. Je te sais oh combien bien plus forte que moi et à la fois si fragile. Entre diamant et argile, aimant ton style, je n'ai mot à décrire la puissance de ce qui me fait être ton homme...C'est déroutant, la route sera surement pleine d’embûches, emplie de délires et de soubresauts. Mon cœur, un peu de bonheur nous ferait le plus grand bien, et à cette heure et pour les prochaines, c'est avec toi que je souhaite, que je veux, que je cri à la vie, de le partager....


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  • A qui saura voir de nous les auras
    Pourra peut être, dans ce beau jardin paître.
    Comme une source à l'eau divinement douce
    Mille excuses très chère! Vous êtes mes os et ma chair.
    Un peu maladroit j'ose, entrevoir cette si belle métamorphose.
    Si je vous écris en rimes, et que parfois je vous mime
    C'est la cause d'une grande faiblesse en prose.
    Alors indulgente soyez! Le jour est ensoleillé
    Je ne vous demande rien de plus qu'un voyage aux Andes
    Ou peut être aux Fidji, en tous cas je nous veux Magie.


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  • Petite poudre de perlimpinpin, la musique nous transportant et très faim de toi, c'est important!! Oui, loin des problèmes du quotidien, on s'aime...Et rien ne l'empêche. Alors ce soir d'octobre, à la pénombre arrivée, tu m'a peint le nez, les épaules et les flans. Tu dansais libre mon cœur, des épaules et de la tête, tes hanches aussi ainsi que tout ton corps s'abandonnait à la musique.

    Ce soir j'ai vu encore une facette nouvelle du joyaux que tu es pour moi, un coté clair-obscur qui je l'avoue me transcende, je ne demande de nous que l’entièreté.

    Cette fête, à deux, reste gravé jusqu'à les fins des temps dans nos mémoires. Nous n'avons pas dormi comme des loirs, et pour cause, la magie de cette nuit dans des rites et manifestations oh combien bohémiennes nous a portée jusqu'au lendemain.

    Des rires, oui et surtout ton corps, peint lui aussi, tu as dansé nue très chère, à mes yeux émerveillés tu as exécute une danse de sorcière, et quelle merveille de te voir ainsi libre.

    Je graverai notre Amour sur ma peau, Il est dans mon cœur, mon esprit et mes os. Chère amie, continuons notre chemin de Vie, ainsi peut être nous découvrirons de l'un et de l'autre autant de richesses que ce soir là. 

    Je te sais! Id'aime 


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  • Là où se mêlent les ébats et les silences faits de rubis et d'or, les frêles combats encore et encore, tissent une esquisse de désirs...Nous nous invitons à un jeu, non point scabreux mais bien, oh bien voluptueux. Des creux de tes reins à la pointe de tes seins, si jamais j'osai les embraser, les prendre à pleine mains. Une envie volcanique d'osmose, aux fils de nos mécaniques quantiques, de nos techniques féeriques, la métamorphose de nos corps en fusion, tel de la chrysalide à la création du papillon...Splendide pavillon de l'amour transis, un drapeau de pirates, une énergie adéquat,  un acte en soi peut être divin, et se griser avant et pendant avec du bon vin... Fumer l'herbe bleue, humer l'encens enivrant, pour que nos corps sacrés en une danse bohémienne, autour d'un feu païen, s'enlacent sans jamais d'angoisses...La magie interviendra ainsi, en Indien me transformerai en loup, en bête totémique, et ton temple garderait les portes. Cette mimique fantastique, ce rêve tangible, nous en sommes éligibles...


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  • Frémis par ce regard en délicatesse, ce n'est point par paresse très chère. 
    Ou par empressement un tantinet maladroit, que j'ose trop souvent prendre le droit de te parler, d'alimenter le silence par mes mots. Ce silence justement, tient en son écrin serein toute la magie de ta personne...Alors j'ose, oui, réclamer le son de ta voix..comme au petit matin cette douce mélodie qui me sort du lit. Mes requêtes d'homme, subtiles ou débiles, vont en ce sens: te savoir en paix, extasiée ou exaltée peu m'importe, tant que dans tes rêves tu passes de portes en portes et que d'une phrase et d'un regard tu m'emportes.
    Tes airs graves me posent question, l'air détendu et souriant me rend l'émotion.
    Aussi comme aujourd'hui si j'écris à toi, en ces mots cachant certains de mes maux, je te sais joyaux, un bijou..et pour une baiser sur ta joue, je ferai le pitre, le clown s'il le faut.
    Et pour un pacte, oh capitaine pirate, sortirai ma lame si je te sens au bord des larmes....
    Bref, ces mots comme ceux que tu me donnes, prends les! Et je sais que toi même tu connais ce qu'il y a derrière les phrases, dans l'interstice de la pensée créatrice..
    Alors en redite: "Je l'aime à nu elle...Emmanuelle."


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  • Adoptant les mimiques félines, elle se fait ainsi câline..Je me vois alors sublime dans ses parties les plus intimes...De cet acte infiniment subtil, nous écartons les futiles caresses, pour en venir là et ainsi où se trouvent les chaleurs en détresse...Me faisant source de flamme, jaillit de mon âme et de mon corps des touchés et des baisers indigos. Elle me rend fou ou dingo, et bingo! M'invite à continuer, alors..s'insinuer aux frontières non connus de son corps, découvrir les douceurs et goûts des courbes et de la peau hâlée de ma bien aimée, devient une quête..un Graal, où mes maladresses peuvent être fatales. Dans un dédale de sensations, faire monter la tension..Mon Emmanuelle, ne soit pas cruelle, soit celle qui me fait pousser les ailes.....

     
     
     

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  • Terre:

    Aux éphémères petites choses
    J'envie ce grandiose
    Cette fantasque et millénaire ronde 
    Cette idée si profonde
    Venant des tréfonds et des abysses
    Et par tous temps qui glisse
    Par les racines et anfractuosités
    Pour nous livrer ses curiosités
    J'ai envie de voir à nouveau
    Et sans paraître dévot
    Pour l’élément solide
    J'essaie de casser la bride
    M’empêchant d'admirer
    Ce spectacle, dont je dirais:
    "Oh qu'il est frais cet air,
    Oh qu'elle est belle ma Terre"
    Alors, aux confins de l'espoir
    J’irai goûter fraises et poires
    Le suc de Terre-Mère
    Est loin d'être amer
    Et il y aurait sur mes doigts
    Le terreau qui fait loi
    L'envie de lui dire merci
    Pour Être vraiment précis...


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  • Au levé du Soleil, et malgré la distance,
    Les yeux merveilles et la fragrance
    De cet enfant tant aimé
    Font de moi un être calmé.
    Je bois ce café à l'arôme relevé
    Entends la Nature se réveiller.
    Oh! Douce enfant, tu me manques...
    Et sur une musique d'un certain Hank,
    Je me sublime à t'imaginer rire
    Verse une larme pour ton lointain sourire...
    Ma fille, sache que, rien n'est insurmontable.
    Que Papa danserait sur les tables
    S'il le fallait. Qu'il ferait rire les roches
    Qu'il les casserait à coup de pioche.
    En somme, le lien a été fait
    Ce jour béni par les fées
    Ce jour d'automne où tu es née.
    Tu es l'unique et l’aîné.
    Pour l'instant, rien ne vaut ta présence
    Et personne n'a ton aisance.
    Quelque fois au son de l'angélus
    J'ose dire ton nom: Luz.
    Et quand la nuit arrive
    Et que parfois elle prive
    Les uns de leurs feux indigos
    Je me vois loup ou dingo.
    Bref, écrit sur les murs de Parme
    On pourrait lire un Amour en larmes.
    Mais désormais, le maître-mot est Joie
    Par tous les Dieux, je le ferrais pour toi...


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  • Luz

    Aux cieux bleus de ce matin printanier
    J'ose dire et ne point nier
    Ce qui fait de moi, l'être vivant
    J'hume les premières senteurs, et sens les vents.
    Exerce un rituel ancien, celui de prendre le Temps
    Les nombreux végétaux, les arbres d'antan
    Bruissent une mélodie, oh! jamais oubliée.
    Les insectes, les oiseaux à ce chant liés
    M'incitent à dire ses mots: "J'aime vivre."
    Et si parfois de certain sucs je m'enivre,
    Reste humble, aux multiples stimuli de la Vie.
    Et rien, n'est plus beau que ces envies.
    J'y intime ma vérité à la vue d'un papillon,
    Car tel un drapeau, un magnifique pavillon
    Cet animal semble annoncer un souffle éternel
    Il vole,se pose, le geai cri et je pense à elle...
    Elle...Mon enfant que j'aime si fort.
    Et malgré les montagnes enneigées encore
    Mon cœur est chaud, il invite à se lier.
    Ma fille, papa ne se trouvera jamais plier
    Il ne s'avouera jamais vaincu, jamais à l'arrêt.
    Et, à ce qu'on dit, à ce qu'il paraît
    Certains Êtres sont toujours et à jamais,
    Fortement, intensément attachés, jamais damnés.
    Alors voilà pour aujourd'hui la trace de mon Amour
    Alors, sache, Luz, que je t'aime sans détours...


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  • Mon axe profond c'est mon karma, en mon sein mon cœur s'arma et vers mes aïeux, tombèrent des cieux les rêves pieux de nos vieux. J'ai exigé dans cette rude bataille une arme et des dons de taille. J'y ai vu secourir un enfant rire, j'y ai entendu l'horreur et le pire. Pourtant mon existence s'est faite en une histoire presque parfaite. Elle trouva dans le cœur de mon enfant tout ce que de mes griffes je défend. L'Amour digne, le bon vin et les vieux livres, et de cette liqueur, de ce suc, devenu ivre, je m'étonne alors de boire alors jusqu'à la lie, les poisons que j'entends et que je lis. Rire de soi, écraser le passé d'un moment où s'il y en a qui ont peur, s'il y en a un  qui ment. Peu importe quelle arche je prend, car c'est en ces temps que je rends, à mon âme les plus belles notes, la cadence de cette chanson vient de mes hôtes, car les encens de bois que les centaures hument trouvent leur échos dans ce petit feu qui fume.


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  • D'un moment souligné par son existence, je confesse mes erreurs, porte à l'examen les mémoires de lieux lointains...Mes maux ont confessé: tu n'es pas celui que tu croyais, tu es ce que tu penses, alors pense juste l'Ami. Au delà de mes errances je ne trouve que rarement les justes actes possiblement pointés du doigt par mes pairs. Ma terre mère et mon père ciel se trouvent dépourvus de solutions. Pourtant, je fais ce que je peux pour leur rendre hommage, par des rites païens, des actes et offrandes à la Terre, je me permet de présenter mes excuses. Seront elles acceptées? Seront elles refusées? Aucune réponse certaine, en revanche une certitude, celle de faire le chemin, de tracer sa voie, celle qui sera mienne après toutes ces errances, toutes ces catastrophes physiques et mentales. Je me sais extrêmement sensible et intelligent, je me sais donneur d'amour et patient, observateur et pourtant, je me retrouve encore ici, enfermé entre quelques carcans psychiques. Au delà, et en toute confiance je me retrouve dans mes expériences chamaniques. Et là, enfin et peut être pour plus longtemps que prévu reprendre les bons chemins de cette vie si tortueuse...


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  • Dans la liberté d'être, se donner les moyens d'entreprendre quelques processus avantageux. Oublier ses méandres, ses songes scabreux et s'autoriser à devenir cet être plus grand, plus fort, plus beau et plus lumineux. Je suis mon propre sage, en apprentissage constant. Se dire que la prose ose métamorphose et combat. La plus grande des luttes est de stopper tous combats. Se livrer totalement à cet exercice, cet examen des plus intense: Être. Je me permet de dire qu'à un moment le Jeu n'est plus le même lorsqu'on connait les règles par cœur, il change d'aspect. Dans mes parties obscures, mes exercices chamaniques, je me permet quelques excentricités. De vortex passés à l'appel de l'astral. J'avais oublié Anathzar, mon guide, mon âme, les feux sacrés de mon Dragon. Aussi loin que je me pardonne, je crée des illusions factices pour prétendre à la magie. Quand mon âme agit en toute conscience. Le chaman en moi s'est retrouvé passant les ponts, détruisant les murs et comblant les vides entre les choses. Je sais désormais être-vivant, avant d'être-pensant. Je respire, je vois, je dors, avant même de réfléchir à ces actes....


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  • La lumière gardée en son sein dans son écrin de platine brûle parmi l'eau salvatrice. Attisée par les Vents ancestraux et prenant racines dans les palabres des vieux arbres...


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  • L'Amour indéfectible pour son enfant raisonne aux rythmes les plus grandioses, il foisonne. Je dis à ma fille comme je l'aime, de loin sans la voir, et je sème ces graines d'intense amour tous les jours. Ma grande fierté est mon enfant, comme la biche et le faon, ou les plumes du paon se dressent à la saison des amours. Mon âme tient en son sein l'équilibre d'un tour, d'un tour de magie acceptable, d'une illusion, de tous mes songes ma vie se trouble de carcans et en traversant de ses terres quelques arpents, je condamne les vieux et le aïeux ne raisonnant plus d'un thème accroché à la cadence d'un hiver glacé, ma vie prend l'accent d'une terre brûlée. En pertes et fracas, à la crête du trépas se donnent les mages contre les diables et les démons. J'exige un résultat, une somme de calculs, un temps soit peu idéal, une idée au sens fractal. Et au fil du temps, les liens se délient par l’absence. De tout ce que j'ai il me manque l'essentiel, un retour puissant aux forces du ciel. Une armée, une légion d'Êtres emplumés, d'Anges, et sous les coups de marteau, une force étrange m'a donné l'envie la plus puissante de transmuter, de transformer à la fois les Feux sacrés et les quatre Vents. De tout mon être, s'être livré aux forces subtils, un temps débile, j'ai accepté les constantes rêveries, les existantes railleries de l'Autre et les moments de solitudes. En un point d'orgue, sublimé par toutes ces notes, j'en arrive en présence de mon hôte, à être si invisible, si lisible, si crédible que toutes mes horreurs font foi d'erreurs.J'en arrive à extirper mes démons serviles, et à n'être plus cet être vil. Je me donne le choix de vivre, celui d'avant tout Être et non paraître,je me donne cet état de vie, ce don qui prend le bon sens, je suis avec la Vie. Ce que je désire le plus Être moi même et m'aimer en tant qu'être vivant, pour plus d'essence vitale je me promène le long de ce dédale, me cogne murs après murs et pourtant jamais ne tombe. Les ombres me suivent, les vouivres s'installent dans ces lieux telluriques. Il y a fort longtemps, mes dragons sont venus m’éclairer de leurs feux sacrés.


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  •  De magies anciennes non pas occultées,

    Aux errances envolées de certains exaltés.
    Pour une écoute fine sur l’angélus,
    Pour le tout, pour l'Amour et ma fille Luz.
    J'interviens au rang mien, je n'accepte rien!
    Demande au Sacré, à l'onde chuchotante,
    A ce tabac et sa fumée brûlante,
    Aux chevelus nuages au dessus de ma tête,
    A mon Jahwell et sa clochette,
    L'intense patience qui fera de moi celui,
    Qui, par l'exercice de Pensée, du mal cuit,
    De l'âme vive, transmutera son soi acide
    Tout en évitant, le lévitant hybride,
    Et chaque fois en référence à ses guides
    Essaiera d'extirper ses liens et ses brides.
    Transmutera donc, en une infinité d'Elles.
    Je ferais alors de ma vie une passerelle,
    J'essaierai l'indicible son du fond des âges
    Et je donnerai tout ou presque en partage.
    Ces mondes cachés dans le silence de l'aube
    Ou ces vallées foisonnant d’anciens orbes..
    J'irai par delà les mystères non sondés
    Et me rechargerai à l'ondée.
    Les Vieux, mes Anciens, portent à l'examen
    Les constellations dans mes deux mains.
    Ils semblent sûr de leurs faits d'armes
    Et me prodiguent leurs soins contre les larmes.
    Mes fées câlines se tiennent à mes côtés,
    De grands centaures de toutes les beautés
    Ne cessent de me parler..d'invoquer la magie.
    La vie coule depuis l'aurore et pour ce qu'elle agit
    Dans mes os et mes veines, cette onde, 
    Cette magnifique perle d'eau profonde,
    Réussi ce tour, n'être en moi que par l'Esprit.
    Je tente alors de ne plus jamais être pris,
    Mes croyances les plus ancrées tombent
    Et dans mon corps, l'effet d'une bombe.
    J'assimile tout autant les paradoxes
    Que les coups sur un ring de boxe....


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