• Luz.1

    Au levé du Soleil, et malgré la distance,
    Les yeux merveilles et la fragrance
    De cet enfant tant aimé
    Font de moi un être calmé.
    Je bois ce café à l'arôme relevé
    Entends la Nature se réveiller.
    Oh! Douce enfant, tu me manques...
    Et sur une musique d'un certain Hank,
    Je me sublime à t'imaginer rire
    Verse une larme pour ton lointain sourire...
    Ma fille, sache que, rien n'est insurmontable.
    Que Papa danserait sur les tables
    S'il le fallait. Qu'il ferait rire les roches
    Qu'il les casserait à coup de pioche.
    En somme, le lien a été fait
    Ce jour béni par les fées
    Ce jour d'automne où tu es née.
    Tu es l'unique et l’aîné.
    Pour l'instant, rien ne vaut ta présence
    Et personne n'a ton aisance.
    Quelque fois au son de l'angélus
    J'ose dire ton nom: Luz.
    Et quand la nuit arrive
    Et que parfois elle prive
    Les uns de leurs feux indigos
    Je me vois loup ou dingo.
    Bref, écrit sur les murs de Parme
    On pourrait lire un Amour en larmes.
    Mais désormais, le maître-mot est Joie
    Par tous les Dieux, je le ferrais pour toi...


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