• Théorie de l'instant, vacarme de l'urgence et silence des âmes, encens de l’esprit vainqueur des heurts, rincé à l'essence vitale. Fatale chute aliénante, mon Atlante se meurt .. La bataille perdure et la flamme ténue garde la vie. D'où sortent les djinns? C'est l’énigme parfaite, l'histoire nette du temps, l’inquiétante branche rompue, la fin de l'histoire.. Et pour une pièce on abandonne sa bonne fortune, sa rage primordiale s'enterre aux trous profonds. Et c'est dans l'écrin, parfaite imitation de l'aube que l'onde se fait obscure. Il perdure alors, ce fantôme, voile incertain des habitudes, créateur factice de symboles. Mon bateau pend le vent! Brise les états d'âme... Marchands d'illusion s'amoncellent sous le porche, le vassal est un vandale. La tour s'écroule et quand à briser ses idées, ma fée pipe les dés... S'être inspiré des mythes, respirer l'organique fièvre, la magie transcrite, l'étreinte suave du chant du monde, du son des âges extasie les sens.. L'indice vivant tisse sa toile et pas à pas entrevoit à mille lieues, la forme du ciel et les chants des oiseaux.


    votre commentaire
  • Comme disait Psayan le paysan

    Tonne l'éclair, et c'est grisant,

    file le vent entre les arbres

    Et aie de belles palabres.

    Avec le temps, la nature

    C'est toute notre culture

    Qui se tait quand l'horizon

    Nous accorde ses diverses toisons.

    Il peut y avoir mille maux

    Dans ta vie, mais les animaux

    Te donneront ce dont tu nécessites

    Car en tout lieu, en tout site

    Se rencontre la magie énergique

    D'une subtile présence féerique.


    votre commentaire
  • Mystères millénaires

    D'un peuple affable

    Rigueur d'un bonheur

    Diablement gardéa

    Et par la foudre parachevé

    Electricité des fous et des sages

    Savamment protégée des âges

    Limpides et obscures

    Dansez! Poussières d’étoiles

    Vivifiées, mettent les voiles 

    En d'autres lieux, d'autres temps

    Et pourtant en même temps

    Qu'ici et là et là bas

    Est-ce toi qui m'abats?


    votre commentaire
  • Maintes fois sourcillé, accusé par la masse, aujourd'hui je me prélasse. Je ne tangue plus que par plaisir,vacille aux sens du monde. L’ancêtre en moi sort de son sommeil: ode à demain, quand il s'éveille, pareil au soleil-merveille, la chamane paysanne s'enflamme. C'est une âme, madame! Une larme que je clame! Je régis mon énergie, j'agis par magie. Si j'écoute le chant de la vie, c'est pour en faire l'hymne rythmé de mes sens accordés à l'onde pure et obscure.

    Ecrire son livre à soi, parfois désireux, parfois malade, parfois libre. A chaque instant vivant, spirituellement vif, réactif et fluide. Il s’avère que la vie est sévère, et si je persévère c'est vers le vert-sauge, car j'ose, cette prose s'affirme dans l'intime, extirpe le suc, la moelle du vivant, apprend à exalter le temps. Pas d'inspiration mais une respiration: la base de mes sensations, le fondement de mes articulations! Osseuses ou verbales, rien n'est banal, un rien fatal et du végétal à l'animal, j enlève les ailes et du mot vient l'âme, ANIMA(L)... Gestes anciens, pensées sans fins. Ecrire est un noble art!


    votre commentaire
  • Wakan


    1 commentaire
  • Psayan le paysan

    Porte des cailloux, patient.
    Il les sort d'un champ,
    Les pose, en arpentant
    Sentiers et chemins,
    Il fera pareil demain.
    Hier, il serra d'un vieux la main.
    Aujourd'hui il achève son destin:
    Plus de cailloux dans le champ voisin..

    votre commentaire
  • Intime conviction de mon paradoxe, ultime conscience de cet équilibre et de fait, être jours et nuits au delà des formes des nuages, inscrit dans la roche! Approche alors aux quatre vents les effets de mon style: du débile au subtil, j'affirme l'essence de l'existence; le suc de la trêve s’enclenche et porte aux nues les Vieux qui sommeillent en nous. J'affirme, le tout est dans le présent, je suis bohémien-provençal-indien-occitan-libre et vivant avant tout le reste. Je respire, mange et urine, sens l'air dans ma tête, le soleil cuire ma peau, j'aime la terre sous les ongles, rigoler et méditer. J'apprends à désapprendre, je vis et mourrai un jour. Le cycle ne s'est jamais arrêté. J'entame un air serein, mes maux sont derrière mes mots. L'instant me parait éternel et je refuse de galvauder ma liberté d'Etre-vivant et ce qu'elle comprend: les risques, l'exaltation, la sagesse et le reste... Je refuse aussi de n'être que spectateur, la vie c'est le présent! C'est chaque jour une remise en question et un noble combat. Mais les pires de ce monde n'ont jamais eu autant de soucis à se faire, ils le dirigent certes, mais les consciences bougent, elles se révolutionnent. Et rien n'est hasard... J'entend l'agacement et la rage même dans les chants d'oiseaux. Je suis anarcho-écolo-révolté et écorché vif. Poète dans mes jeunes années, j’exècre l'argent tout puissant. S'ils nous prennent pour des bêtes, je ne me laisserai pas priver de mes armes naturelles, on ne me coupera pas les cornes, on ne me limera pas les griffes ou le bec. Je garde mon libre arbitre. 


    1 commentaire

  • 1 commentaire
  • Fait de pierres et d'air, de terres et de tonnerres, mon être résonne au monde. S'enflamme aux reflets nauséabonds du genre humain. Vif repère devant l’immensité que de se sentir vivant avant tout. S'exalter sur les cimes, méditer dans la furtivité. Prendre le temps ou...cultiver son jardin. Enfin se donner la main et mutualiser les savoirs et les connaissances, les moyens techniques et philosophiques. Pour pouvoir s'ancrer à une ère nouvelle. Le système s'est déjà terminé, ses bases sont dissoutes, il ne fonctionne plus que sur l'inertie; le nouveau germe ça et là, collectivement ou individuellement les habitudes changent:

    "De rancards en déboires
    Même dans le noir, on garde espoir"

    votre commentaire
  • Mon Mal n'est pas banal, c'est le canal ancestral de mon peuple métèque. Présent sur cette planète sans âge, les causes et les éléments de mon existence font valoir à cette Aube une lueur hypersensible. A l'orée des sociétés, je me sens confus de connaitre si peu de choses, malgré tout: vaillant Vandale vexé par l'horreur, révolté romantique aux défauts de mes qualités, j'explose quand viens l'ignominie. Je suis fils de paysans, de la terre aux pieds, sous les ongles, écorché par les ronces et piqué à l'ortie... 


    1 commentaire
  • J'appartiens,

    Au monde de l'Occitanie

    Sans aucune litanie.

    Aussi à celui du rugby:

    Notre sport "l'ovalie"

    Ce jeu de mouvement,

    Où entre heurts et discorde

    Les partenaires sont aimants.

    Faire vivre la "pelota"!

    Pour ensuite se sacrifier pour l'autre.

    Ferrailler pour conserver la soûle!

    Et se battre noblement comme on ne le fait ailleurs.

    Etre plein d'abnégation. Vivre pour le collectif.

    Et surtout jouer... Jouer et plaquer sans arnaque!

    Un thcic-thcac, cadrer et déborder.

    Débordement de joie. Joyeuse fête que le rugby..

    Quand tu t'es mis sur la tronche,

    Et qu'à la fin tu trinques au ti-ponch,

    Il  faut du punch, être vif, réactif et sensible au seul jeu que l'on peut, si on veux, jouer avec les mains et les pieds et dont l'objet n'est pas rond, mais profondément subtil et différent.


    votre commentaire
  • Par le même chemin, je reviens.

    Exténué il y a peu, je parviens

    A prendre les choses en main

    Je suis aujourd'hui, plus hier et pas encore demain.

    Je reste fixé au temps présent,

    Évite les êtres pesants

    Et crois encore au bonheur,

    Quand sonnent les douze heures.


    votre commentaire
  • A la faveur d'un gin-tonic

    J'invite au bal les djinns cyniques

    Fort de l’expérience critique

    Ils succombent au magique

    Les uns sont excentriques

    Glissent de dialectiques

    En psaumes féeriques

    Et c'est là que pique

    Dans l'intime mon stylo-bic...


    votre commentaire
  • outils de plaisir


    votre commentaire
  • Peigné d'une plume et tressé

    Je donne à la Lune, j'essaie...

    Me gratte la panse et ressasse

    Ma transe est dans ma besace

    Chaman dans la pierre et l'âme

    Mon esprit n'est plus une lame

    Au contraire il se fait écrin

    N'a plus de doutes , ne craint

    Ni la peur, ni les mauvais djinns

    Maintenant: je sais, j 'imagine

    Le monde est un tout

    Dans mon jeu j'ai l'atout

    Il prend toutes les formes

    D'un serpent à un orme

    Quand je ne pense plus carré

    Mes possibilités sont sans arrêts

    J'extirpe le suc et la sève

    De chaque chose et sans trêve

    Affine les sens qui sont les miens

    Celui d'un métèque, d'un bohémien...


    votre commentaire
  • Double face!

    On s'efface et fracasse

    Rythmé à l'hymne indigne

    Saoul du nectar des vignes

    Je suis l'Autre et insiste

    Quand l'Un persiste

    Je me vois triste

    Et le monde pourtant existe

    Il cogne, donne sans cesse

    Une vague nouvelle de caresses

    Reçues comme un flot de dons

    L'important c'est le pardon

    Quand celui-ci se dédouane

    J'ai mal aux os, à la couenne

    Il n'est jamais vraiment repu.

    Je suis poilu et trapu

    Fiers de ce que m'a donné la Nature

    Mes maux se traduisent en peinture

    Verbale ou picturale

    C'est un cri, un râle

    Enfant de paysannerie

    Je gueule ces conneries

    De médias et de machines

    Qu'on ne fait plus qu'en Chine

    On est avare de Savoir

    Et je me fixe en Navarre...


    votre commentaire
  • Je ne suis pas comme tout le monde et j'en suis fiers, je suis malade et j'en ai souffert. Je trace mon chemin au fer rouge des blessures et j'imagine enfin un esprit plein de fissures. Pour autant j'ai des valeurs naturelles, garantes et vaillantes sentinelles! De mon existence un peu chaotique et de mes excès parfois critiques, j'en tire les leçons suivante: Il y a des choses qui me hantent et des manifestations simples et vrais qui me permettent doucement d’œuvrer.. Comme j'aime la vie! Je souhaite vivre. Parfois je fus saoul, fou et ivre et pratiquant foule de déboires, je garde pour toujours l'espoir.


    votre commentaire
  • L'Art martial verbal prend  source du coté ancestral, de ces rites cabalistiques, il n'imite pas les sarcastiques. Trouve en son totem animal, les forces des peurs primales, grave sur l'écorce des arbres l'essence même des palabres.. La luminosité du Mal est plus que légal. En chacun sommeille un diable, provocateur et fiable, menteur de bonheur et privé de rancœur. L'idée se fait sainte en chantant cette complainte...


    votre commentaire
  • Renversé. L'âme fracturée, s’immisce en lui le vice, il s'acharne à faire l'envers, l'inverse et l'opposé. Je suis factice et glisse ma colère, je me crache au visage quand il apparaît... Je pars en voyage sans arrêt. Effleure une certaine vérité, quand il est moi: excité. Franchement l'Autre se dépeint et c'est bien moi le crétin. Au travail folie nyctalope! Et je m'en crame une autre de clope...


    votre commentaire
  • Aux machines globuleuses, puantes et nauséabondes, je vomis ma haine, mon antre ne t’absous pas scélérate idée qui a pris vie.

    Combat! Contre nuée et légion d'abrutis, toujours à l’esprit la vérité.. Connaissons nous davantage car elle est maintenant, nous sommes trop dispersés.


    votre commentaire
  • Tom et son tam-tam  sont portés vers l'âme de l'Afrique excentrique, plus personne ne l'étrique. Est il insufflé par ces champs? 

    A perte de vue, ils ont soufflé son tam-tam-afrique, pas de verre! Mais direct de l'essence de la Terre, Tom aime la musique!!


    votre commentaire
  • ...

    Toujours tenir! Et toujours écrire, écrire le cri primal, garder à l'esprit ce combat contre soi... Etre en quête de mystères, missive ancienne entendu au gré du petit coléoptère rouge qui se pose et balade sur la table où j'écris. Je suis présentement inscrit, je titube un peu par rapport à l'instant présent et me raccroche à l'eau du ruisseau qui coule, aux chants des grenouilles et crapauds et aux quelques oiseaux sifflotants. Le gri- gri du grillon tient la cadence...! Comme le rythme d'une musique naturelle chaque corps: animal ou végétal participe au mouvement. Les éléments, comme le vent chantent au travers des arbres qui palabrent entre eux. Les cui-cui et les piiit des passereaux sont les sons de cet hymne à la vie.Vivaces sont les esperances, denses et fluides elles me guident à rester placé dans le temps, à garder à jamais l'espoir d'une nouvelle ère.


    votre commentaire
  • Étriqués et timides les gens ne parlent pas, ils survolent l'essentiel. Le monde qui change, les sociétés qui s’écroulent, et tous restent dans l'inertie d'un rêve sans bases aucunes. Sans valeurs communes; dans tout l'univers jusqu'à coté de nous les choses gardent l'équilibre...et nous passons à coté.


    votre commentaire
  • Ô sabre aiguisé, trempé et retrempé, coupant, tranchant mes ennemis favoris, mes djinns et démons. Le mauvais esprit face à cette arme. Il prend peur de cette lame, si vive, jamais ébréchée! Elle tend à faire fuir ceux qui veulent me nuire. Elle n'a pas de nom, chacun cri:"oh non!" quand il la voit ou l'entend frapper. C'est mon arme, ma lame...mon âme. 


    votre commentaire
  • Je vous jette mon camouflet aux yeux, mon camouflage est pernicieux. Mon âme! Mille fois ancestrale et ma lame s'invite au bal.. Elle est l'arme fatale, les chevaux en cavale, elle feint de craindre les envieux, et s'affaire à mille lieues, s' inspire de nos vieux, en un rêve un souffle pieux. L'antique vassal, venu du lointain dédale, et s'affirmant comme le canal, arpente sans peine le val. Il écroule et trouble le mal, car son essence est animale.. Sa rage végétale, sa musique primale!! Il s'insurge du monde scabreux, des fantômes si nombreux et des imbéciles heureux, des nantis peureux...Et c est quand il ose pour de bon sa métamorphose, du néant au grandiose c est ainsi qu il pose sa prose:

    Clairvoyant et regardant net

    Perdu sur ma planète

    Je file en équilibre

    Me défais de la toile, libre!!

    S'il accoure, le prophète

    En ces lieux de fêtes

    Il n'est pas dupe

    Et se coiffe de la huppe

    Magique apanage des vieux

    Il ne peut plus être envieux.


    votre commentaire
  • Les mots me brûlent la lippe, le mal cuit; et sur l'échiquier ripe. Le mâle que je suis ne se fuit plus. La tour d'ivoire où les palabres amoncellent les cadavres des esprits vaincus au combat; à la joute verbale comme clef de voûte triomphale.Du tranchant aiguisé comme un penchant des exercices enfin répétés; maintes fois réfléchis, ces jeux sont devenus cri de l'onde, sifflement ovipare.Et par le silence prend mes marques, positionne l'état d’esprit: alors je prend le vent pour témoin, l'animal comme essence, par la magie des mots, j'apprivoise les maux et les peurs. Les terreurs s'amenuisent au reflet sonore:Le fou que je suis s'assagit, les chevaux galopent sans brides, plus de roi, de reine, de pions...Souffle de mon crayon un blizzard de feu!! La faim de savoir n'a aucune fin..

     


    votre commentaire
  • Ecrire sur un quartier, ce n'est pas un quart d'écrit!! C'est une lune sur le bitume, une chanson pour le béton. C'est le ghetto qui se lève tôt, et on félicite sa cité...

    C'est des voisins incertains, une culture sans nature et peut-être un savoir être ou un état de fait. Et plus qu'une appartenance, une croyance...

    Peu de travail, sollicité par pôle en bois, et cet hiver il fera froid. on a hâte que cela cesse, mais on vit à toute vitesse!!

    Prendre le temps de se poser et de se concentrer, ne plus se décrire comme carcan mais comme des voix ayant leur pesant. Se faire entendre de ses pairs, retrouver tous ses repères et s'indigner des injustices.

    Pour pouvoir admirer un monde sans vices, un monde coloré et multiple, où enfin personne ne flippe!!

     


    3 commentaires

  • 1 commentaire
  • Les histoires  se content et se racontent. Les orateurs paraissent en connaitre des légions. les amis s'en disent quelques unes et vous devez en connaitre un peu.

    L'art de parler et de dire, d'assembler les mots les uns aux autres, tansmet à celui qui écoute, des sensations. Et, selon sa sensibilité, ce qui a été entendu passe au philtre du vécu, à la chaleur de l’expérience, au ressenti du monde.

    Ainsi, l'histoire s'enrichit, ou en tous cas, elle change de visage, de ton..

    J'aime beaucoup les histoires, mais sait on d'où elles viennent?

    Elles voyages par le biais de différents véhicules. Tantôt soufflées par le vent, transportées à dos de feuilles mortes, tantôt s'agrippant aux plumes panachées d'un oiseau. Elles circulent dans tout l'univers, et elles sont la sonorité, le miroir de choses qui n'ont pas d'âges.

    Quand parfois quelqu'un parle, c est que l'histoire vient de se poser sur son épaule et que, la  personne l'a acceptée et l'aime, ainsi laissant passer ce flux ancestral, il croit inventer mais c est toute la vie qui s'exprime en lui.

    En revanche, s'il ne l'aime pas, l'histoire s'en va. Elle cherche à nouveau mais se sent blessée et peut mourir.

    Il faut donc écouter et sentir la présence des histoires du monde, laisser de coté pour un moment l'esprit carré:

    "Une fois, j'étais à cheval,en plein galop. Dans un champ de lavande, les montures nous enivraient de leur vitesse. J'étais saoul, ivre de bonheur, trop jeune pour comprendre, je n'écoutais pas, l'abeille me piqua l'oreille gauche, je tombais de cheval, mangeais la terre et eu mal aux os." 


    votre commentaire
  • Chassant dans l’onde obscure, il arrive de cet état de nature qu'on perçoit le future, l'humilité, une certaine culture. Déjà, dans la passion je refuse l’illusion, entame une construction, portions par portions.

    Et si il trompette ce joueur, il nous donne de l'amour, des lueurs. Sa musique éloigne les peurs et nous sommes alors frères et sœurs.

    Vaillant comme un lutteur, il s'acharne heure après heure, s'occupe de porter le bonheur et ne s'arrête pas a la rancœur.

    Exercice de style, exècre les vils, accède au subtil et feint d'être futile...

    Vibratoire sentiment, sensation effarante.

    Une lueur intense, danse par intermittence, dans l'antre pareil au ventre, s’exalte un vif pensif qui, de sa main porte à l'examen, l'addition addictive de son expérience surannée, cette année sera psychique, son état cataclysmique. D'intenses histoires de bestiaires viendront taper ma réalité, l'égal-autre sera happé, le soi-même ignoré, bafoué, stigmatisé.. L'un et l'autre parfaitement synchrone, car c'est une histoire où l'on donne...

    Prières aux roches, aux pierres.

    Se connaitre de telle sorte à être l'honnête, démasquer sans souci aucun cet esthète, vassal vaillant de cette magnifique planète.

    Il tombe, genoux à terre face à un envol. S’agrippe les griffes violemment au sol, et s'écroule, lourd, sans bémols.

     


    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique